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EXTRAORDINARY™
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so... where are we ?

Yeux ouverts depuis une petite dizaine de minutes, vous avez pu vous rendre compte assez rapidement que les portes étaient closes, pour la plupart, et que d'autres personnes se trouvaient entre ses murs, comme vous, prisonnières. Où étiez-vous? Quel était cet endroit? Et d'où venez vous vous-même? Les souvenirs bien flous, ce n'est qu'au son grésillant d'une vieille radio se mettant en marche que vous avez accouru vers l'escalier central; la musique vient du premier étage et vous devez en avoir le coeur net.

"Sweet dreams are made of this
Who am I to disagree
"


Eurythmics et leurs accords lancinants semblaient vous attirer vers un petit salon dans lequel tout le monde achève de se retrouver. Aucun trait reconnaissable parmi les personnes réunies autour de vous, aucun visage souriant semblant comprendre ce qu'il était en train de se passer et surtout, aucune espèce de réponse à apporter à toutes vos questions. A leur mine crispée, vous pouvez voir que certains sont vraiment inquiets à l'idée d'avoir été embarqués dans un lieu inconnu et ce sont les premiers à tester les issues, chaque porte et chaque fenêtre qui, malheureusement, demeurent closes. La colère gronde.

"I travel the world and the seven seas
Everybody's looking for something
"


Mais tous ne cèdent pas à la panique et après quelques pas de danse esquissés en direction de la vieille radio, certains jettent un œil aux couvertures des livres présentes dans les grandes bibliothèques tandis que d'autres s'installent dans les fauteuils et canapés, chantonnant machinalement l'air de musique tellement connu alors que d'autres, encore, tentent de masquer leur agacement en attendant que quelqu'un arrive, que quelque chose se produise.

"Some of them want to use you
Some of them want to get used by you
Some of them want to abuse you
Some of them want to be abused
"


Des sourires se tissent entre les nouveaux arrivants alors que des murmures inquiets s'élèvent et c'est tout un panel d'émotions qu'il est donné d'observer dans ce groupe si étonnant. Et dans toute cette anxiété, dans toutes les questions qui sont lâchées, dans les grognements de frustration émis en essayant de forcer les fenêtres, les pouvoirs ne tardent pas à se manifester, gommant d'un seul coup la tranquillité factice affichée par certaines des personnes présentes. Que cela soit une téléportation, une métamorphose, ou toute autre capacité subitement apparue, c'est au moment de tenter la maîtriser qu'un son aigrelet retentit derrière une des portes en bois fermée présente dans le couloir amenant à ce salon.

"Sweet dreams are made of this
Who am I to disagree
I travel the world and the seven seas
Everybody's looking for something
"


Des éclats de voix agacés retentissent, "allons voir!" alors que d'autres, plus prudents, se demandent si cela vaut vraiment le coup de sortir de cet endroit si rassurant, et si certains restent assis dans les canapés sans faire mine de vouloir s'intéresser à cette nouvelle énigme, un dernier petit groupe fait entendre sa voix; qu'y a-t-il de mal à vouloir découvrir ce qu'il y a de l'autre coté de la porte? Serait-il temps de se concerter, de voir ce qu'il convient de faire et d'essayer de trouver une issue à cette situation?

Précisions

Bienvenue à tous dans ce premier event ! Il est temps de placer votre personnage, de lui offrir ses premières interactions, et de découvrir ensemble comment il va réagir à ce qui lui arrive ! bheart

bstar N'hésitez pas à explorer les lieux, à expliquer ses ressentis et tout ce qui lui appartient dans ce début d'aventure. Il ne vous est pas obligatoire de prendre en compte TOUS les éléments présents dans ce post dès la première intervention de votre personnage et cela peut se faire sur plusieurs tours !
bstar La suite des événements ne dépend que de vous ! Si un nombre suffisamment grand de personnages décide pour voir ce qu'il y a derrière, un nouveau tour aura lieu !
bstar Attention à votre décision qui est la première que vous prendrez en groupe lors de cette grande aventure ! Quoi qu'il y ait derrière cette porte, et si vous décidez de l'ouvrir, tous les personnages y seront confrontés et il n'y aura plus moyen de revenir en arrière ! huhu
bstar Amusez-vous ! Et pour cela, n'hésitez pas à utiliser le lancer de dés qui pourra, selon votre convenance, impacter les décisions et actions de vos personnages !

Joshua Tenet
Joshua Tenet
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pronoms irl : elle/she
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― sweet dreams are made of this 170ac8b06fb1c0ed84334d77dfba5f3ed386c282
tu dors où ? : chambre 9, troisième étage
ton super pouvoir : capacité à attirer les objets à lui.
incapacité à contrôler la vitesse d'attraction.

ton inventaire : pistolet à eau
souvenirs : souvenir de deux avions fonçant dans les tours jumelles

   
sweet dreams ― w/everyone

Le froid. C'est le froid de la vitre écrasée contre son front qui le tira du sommeil profond dans lequel il s'était égaré. Ouvrant des yeux lourds de fatigue, la première chose qu'il vit fut l'extérieur du manoir, et la mouche qui voletait avec flegme contre le verre, tentant de se rapprocher de la luminosité extérieure. La véranda était immense, et toutes les baies vitrées offraient à regarder l'extérieur, les plantes, le jardin. La chaleur était écrasante et, voulant consulter sa montre, il s'aperçut qu'il ne la portait plus au poignet. Aucune idée d'où il était, ni de comment il était arrivé là. La mine soucieuse, il se redressa dans son fauteuil en osier tressé et jeta un œil autour de lui. La pièce ne lui offrait aucune réponse aussi, il se leva et explora brièvement les environs. Où était-il ? « y'a quelqu'un? » Des voix lui parvinrent depuis le couloir et il s'y dirigea, sentant dans la poche de son pantalon un objet appuyer contre sa cuisse. Souriant, il en sortit le pistolet à eau qui l'avait rendu célèbre au boulot et, se promettant de le remplir le plus rapidement possible, il le rangea à nouveau dans sa poche; il ignorait où il était et sur qui il allait tomber, peut-être n'était-il pas temps d'avoir à la main une réplique fidèle d'une arme à feu. S'approchant rapidement de la porte, il n'eut que le temps de voir le vase posé sur un présentoir alors qu'il lui assénait sans s'en rendre compte un vilain coup de coude et que ce dernier fut précipité vers le sol. « NON ! » Tendant les mains pour essayer de le rattraper, il sentit une force inconnue et invisible les quitter pour se diriger vers le récipient et, alors qu'il tombait, le vase changea soudainement de direction pour revenir vers Joshua. Surpris, il n'eut que le temps d'ouvrir la bouche en constatant qu'il ne serait probablement pas assez rapide pour l'arrêter. Dans un fracas impressionnant, le vase vint se fracasser contre son crâne, en une centaine de petits morceaux de porcelaine qui s'éparpillèrent au sol. Gémissant de douleur, mais peu blessé, il se frotta rapidement le front pour éloigner la douleur. Qu'est-ce qu'il venait de se passer? Soucieux, il se dirigea vers le couloir d'où étaient provenues les voix, et tomba sur un petit groupe de personnes qui semblaient aussi perdues que lui. Ensemble, ils se dirigèrent vers la musique émanant du premier étage et trouvèrent un salon où s'étaient déjà regroupées plusieurs personnes. « Bonjour, bonjour ! C'est par ici l'escape game ? » Il ne s'attira que quelques regards courroucés et remisa ses blagues à plus tard. Se tournant vers la personne assise dans un fauteuil derrière lui, il lui demanda « Bon alors, on est où ici ? »

dans le rp
Joshua arrive de la véranda, découvre son pouvoir et suit un petit groupe jusqu'au salon pour finalement discuter avec quelqu'un assis dans un fauteuil. feel free d'être cette personne.
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sweet dreams ― w/everyone

La première pensée cohérente qui traverse l'esprit de Tess quand elle ouvre les yeux, c'est la douleur que lui procure sa gorge sèche réclamant de l'eau. Elle papillonne des yeux et manque de trébucher en se relevant de sa chaise, toute tremblante avant de regarder tout autour d'elle sans toutefois reconnaître l'endroit. Elle refoule une bouffée de panique et ferme les yeux un instant pour maîtriser le tremblement de ses mains, avec l'espoir de se réveiller dans un lieu familier une fois les yeux rouverts. Seulement, le décor est le même quand elle rouvre les yeux : les plafonds ornés de moulures, le canapé qu'elle n'a jamais vu auparavant, tout est nouveau, confus, inquiétant. En entrevoyant une porte menant à un couloir, elle la prend, cherchant une issue à ce cauchemar et son angoisse grandissante, mais ses pas la guident jusqu'à la cuisine, où elle se jette sur une bouteille d'eau qu'elle ouvre avec peine mais ses mains tremblent tant que la bouteille lui échappe des mains, s'étalant sur le sol. Elle lève une main, réflexe idiot pour empêcher l'eau de couler, et ses sourcils se froncent quand elle voit le liquide transparent stopper sa chute et stagner dans les airs. Un coup d'œil successif vers ses mains et la bouteille, et Tess, de sa main gauche, attrape la bouteille tombée par terre pour la positionner sous les particules d'eau gravitant dans l'air. « mais qu'est-ce qu'il se passe ? » voix tremblante, elle déglutit difficilement et cette fois, tente de se concentrer pour manipuler l'eau, persuadée de se tromper, elle ne peut pas contrôler cet élément, c'est impossible. Maladroitement mais sûrement, elle parvient à retourner quelques gouttes d'eau dans la bouteille, jusqu'à ce qu'une musique lui arrache toute concentration et lui fasse relâcher son emprise sur l'élément s'étalant alors sur le carrelage de la cuisine. « mince, mince, mince » cherchant un torchon, une serviette ou n'importe quoi pour éponger, elle se masse les tempes devant une migraine naissante, et se trouve incapable de retenir trois éternuements. La musique se fait plus intense, et Tess reconnaissant l'air d'Eurythmics, laisse en plan sa bêtise et prend la direction de la source du bruit, déterminée à éteindre cette musique qui n'améliorait en rien son mal de tête. Suivant la source de la musique, elle croise plusieurs personnes en cours de route, mais ne dit rien, un pli d'inquiétude barrant son front. Arrivée à hauteur du premier étage, d'un couloir attelé à un petit salon et d'un attroupement de personnes, Tess plisse les yeux et dévisage quelques personnes, à la recherche d'un sentiment de familiarité, n'importe quoi qui puisse la rassurer. « est-ce que quelqu'un sait ce qu'il se passe ? » mots prononcés d'une voix enrouée par un rhume soudain dont elle ne devine pas la provenance, elle observe avec un mélange de méfiance et d'appréhension les gens autour d'elle. Sont-ils aussi perdus qu'elle, ou tout ça n'est-il qu'une horrible machination destinée à la torturer?

dans le rp
Tess se réveille dans le salon du RDC, fait un tour par la cuisine où elle découvre son pouvoir, puis suit la musique. elle est inquiète et se pose pas mal de questions.
Cal Ryder
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― sweet dreams are made of this 5333d72e3f8490c6081213332e921365d05e6fe7
tu dors où ? : chambre 1, premier étage.
ton super pouvoir : pyrokinésie, le feu qui s'allume dès qu'il a envie de fumer une cigarette et qui s'intensifie dès qu'il mange un plat à base de viande.
ton inventaire : un zippo gris sur lequel est gravé la lettre M, un paquet de cigarettes, une balle rebondissante.
― sweet dreams are made of this 5e3f04cac6173218befbbabbc4f693a379486992

   
sweet dreams ― w/everyone

Il sent un tiraillement dans ses cheveux, comme si on s’y amusait, qu’on en tirait quelques mèches. Il cligne des paupières plusieurs fois Cal, jusqu’à ouvrir les yeux, regard qui s’accroche au plafond pendant quelques secondes. Il ne s’attarde pas pourtant car des mouvements se font sentir près de sa tignasse, l’américain qui se lève brusquement quand il réalise qu’une foutue souris s’amusait visiblement à grignoter une de ses mèches. « C’est quoi ce bordel ? » Le cœur battant à tout rompre, il observe l’animal s’éloigner rapidement, avant de tourner la tête pour observer la pièce dans laquelle il se trouvait. Celle-ci ne lui disait absolument rien et c’est en forçant pour tenter de se rappeler de ce qu’il avait fait pour se retrouver allongé dans une cave que Cal réalise qu’il ne se souvient de rien. Fronçant les sourcils, il passe une main sur son visage perplexe. Avait-il trop bu, au point que tout ne devienne flou ? L’hypothèse est vite chassée car jamais l’alcool ne provoquerait une telle perte de mémoire, pas vrai ? Tout se bouscule dans sa tête, s’entrechoque alors qu’il continue ses essais, sans succès. Il se relève – il aurait bien besoin d’une cigarette, là, maintenant, pour réussir à mettre tout ça au clair et pour calmer ses nerfs mis à rude épreuve. Au même moment, un carton situé à quelques mètres de lui prend subitement feu, faisant sursauter Cal. Il a le réflexe de retirer son gilet et de s’approcher du carton pour frapper les flammes avec le vêtement dans le but de l’étouffer, éteignant les dernières braises en tapant du pied sur celles-ci. Quand plus tard, tout est enfin éteint, l’homme se penche, mains appuyées sur ses genoux, reprenant son souffle. « P’tain j’comprends rien à tout ça. » Réflexion prononcée à voix haute plus pour la forme qu’autre chose, il attend encore un peu avant de décider de monter, de trouver quelque chose qui l’aiderait à comprendre ce qu’il se passait. Il gravit les marches pour arriver dans un grand hall, porte qu’il tente évidemment d’ouvrir sans que ça ne fonctionne. Quelques essais supplémentaires n’apporteront rien de plus et Cal se résigne finalement, surtout quand il entend des voix provenant du premier étage. Prudemment, encore perdu, il emprunte l’escalier en suivant la chanson et les voix entendues, se retrouvant dans un salon d’une ambiance bien différente de cette cave dans laquelle il venait de se réveiller. Il observe les lieux quelques instants avant de s’attarder sur les personnes déjà présentes. « J’sais pas mais… j’me souviens d’absolument rien pour expliquer ce que j’fais ici, j’ai peut-être trop bu ? » dit-il pour répondre aux questions lancées par un homme puis une femme, tous les deux au visage inconnu. Un soupir quitte ses lèvres alors qu’il fait quelques pas pour laisser d’autres personnes entrer. « J’comprends rien là… Il me faudrait une clope. » Des flammes apparaissent sans prévenir, feu plus léger cette fois qui se déclare sur un coussin. Un juron le quitte alors qu’il frappe sur le début d’incendie avec ce qu’il lui reste de gilet jusqu’à avoir tout éteint, avant de s’affaler dans le canapé,encore plus perdu qu’avant. « Merde ça va paraître bizarre mais... » Les réflexions s’enchaînent jusqu’à former une hypothèse improbable, qu’il ne devrait pas formulé à voix haute, surtout pas à des personnes qu’il ne connaît même pas. « Mais j’crois que c’est moi, qui fais ça, qui déclenche ces feux, ça fait deux fois que ça arrive comme ça sans prévenir ? » Il peine à assimiler ce fait, l’éventualité d’avoir une sorte de capacité qu’il ne comprenait pas mais, en même temps, comment expliquer cette drôle de coïncidence ? Son regard s’arrête sur les individus présents en cherchant à comprendre s’ils allaient décider de l’enfermer – bon ça, il l’est déjà – ou s’il ne se trompait pas tout à fait avec cette hypothèse tirée par les cheveux.

dans le rp
Cal se réveille dans la cave, met le feu à un carton, rejoint le salon et répond vite fait aux questions de @Joshua Tenet et @Tess Marlow avant de mettre le feu à un coussin cette fois.
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sweet dreams ― w/everyone

Lorsqu'il ouvre les yeux, Ramsès sent instinctivement un champs d'aiguilles lui transpercer le crâne. Grimace offerte à une vitre teintée sur laquelle se reflète son image et voilà qu'il prend brusquement conscience de l'endroit où il se trouve. Putain. qu'il s'entend murmurer en frottant son front. Ramy, t'as encore trop bu. qu'il s'invective en tentant, tant bien que mal, de se redresser sur ses jambes flageolantes. Une douche, c'est ce qu'il constate en levant les yeux vers le pommeau. L'étroit petit rectangle dans lequel il se trouve ne lui est pas familier et, s'il y avait une réflexion à se faire, c'était bien que l'endroit était à mille lieues de ceux qu'il avait l'habitude de fréquenter. Qu'est-ce que t'as encore fichu ? se parler, c'était avant tout pour se rassurer. Ce n'était pas la première fois qu'il n'ouvrait pas les yeux chez lui, confortablement lové dans son pieu, après une soirée bien arrosée.
Le problème ? C'est qu'il n'avait aucun souvenir de la veille.
Il fronça les sourcils, debout dans la douche, à la recherche d'une image mais tout ce qui lui vient à l'esprit était les lèvres tendues de Mala qui se rapprochaient des siennes. Il frotta l'arrière de son crâne avant de sortir de la douche, appréhender les lieux du mieux qu'il le pouvait. Tout ce qui était en train de se passer lui donnait le sentiment d'une affreuse gueule de bois.
Son reflet dans le miroir lui donne l'impression d'être passé sous un rouleau compresseur. Cheveux en bataille, chemise à moitié déboutonnée et un regard fatigué. Aucune trace de coups ni de sang, c'était une bonne chose finalement. Et puis, une musique... il lève les yeux vers la porte, se concentre un instant avant de secouer la tête de gauche à droite. Tu délires Ramy, c'est sûr. et pourtant, il se laisse porter par l'atmosphère cotonneuse des lieux. Un pas dans le couloir, il remarque à peine les chambres tant son esprit se concentre sur la musique qui semble venir de l'étage du dessous. Une main qui longe le mur, comme pour se donner consistance, il ne prête guère attention aux lieux, tout à son affaire. Les escaliers sont larges et la décoration lui donne l'impression d'avoir atterri au coeur d'une maison close. Tout est bien plus beau de ce dont il a l'habitude. T'as dû rencontrer un groupe de riches jojos qui t'ont invité à l'after chez eux... le son de sa voix le rassure, comme souvent. Une main sur la balustrade et voilà qu'il suit la musique jusqu'au salon.
Lorsqu'il entre dans la pièce, il constate ne pas être tout seul mais aucun des visages qu'il voit ne lui est familier. Il fronce un peu les sourcils, s'arrête sur le pas de la porte lorsqu'il voit une flamme s'allumer sur un coussin. Merde, qu'il jure, surpris, alors qu'un mec se porte brusquement responsable de ce mini incendie. Il voit les regards inquisiteurs qui se posent sur l'intéressé et ne peut pas s'empêcher de sourire. Ok, c'est une farce, t'es dans une de ces caméras cachées à la con, c'est sûr, qu'il pense en s'avançant d'un pas, puis d'un autre. Il rompt la distance avec Cal et pose une main sur son épaule tranquillement. T'inquiète mec, j'suis sûr que c'est un concours de circonstances.. une genre de farce qu'on nous fait. parce qu'allumer un feu à distance et sans briquet, c'est impossible, n'est-ce pas ? Pour autant, si la plupart des gens ici ont déjà découvert leur pouvoir, ce n'est pas le cas de Ramsès qui, à sa décharge, évolue encore comme s'il était en plein rêve.

dans le rp
Ramsès se réveille au deuxième étage, dans une douche. Il ne comprend rien à ce qu'il se passe, est persuadé d'avoir passé la nuit précédente à trop boire. Lorsqu'il arrive au salon, le feu sur le coussin s'est déclenché. Il s'approche de @Cal Ryder et le réconforte sans se douter qu'il est sans doute l'un des seuls à n'avoir pas encore découvert sa nouvelle capacité.
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sweet dreams ― w/everyone

Une dizaine de minutes à errer, l’esprit embrumé par une multitude de questions, une crainte étouffant le myocarde en se rappelant le dernier souvenir, une épaule étrangement peu douloureuse. C’est à rien n’y comprendre. Son unique souvenir remonte à la Jordanie, à cette mission ratée. Comment pouvait-elle être dans un manoir, dans une décoration qui n’avait rien de local quand la veille encore elle se trouvait à plusieurs milliers de kilomètres des Etats-Unis? Pas d’explication logique ou censée alors qu’elle explore, à la recherche peut-être d’une quelconque information. Des âmes croisées aussi perdues qu’elle à qui elle lance à peine un regard.  A vrai dire, les autres sont pour l’instant le cadet de ses soucis. Et en toute connaissance de cause, Romy est bien placée pour savoir qu’elle sera capable de s’adapter avec une aisance plus qu’évidente si la suite des événements devait l'entraîner à rester ici. Pas le temps de s’interroger plus qu’une musique grésille tout d’abord avant de s’élever plus clairement. Et Romy soupire car non seulement, connaît-elle évidemment cette chanson si connue mais elle a surtout l’impression qu’on est en train de se foutre de sa gueule. Il lui faut un effort considérable pour rester neutre. Néanmoins, elle décide de se diriger vers l’origine du son. Peut-être qu’une partie des questions trouveront alors leurs réponses. C’est sur le chemin qu’elle aperçoit le chat pour la première fois. Un chat, tout ce qu’il y a de plus banal si bien que Romy ne lui prête absolument aucune attention. Elle le dépasse, ne s’arrête même pas pour le caresser - elle n’a jamais été une très grande fan de félins. Et pourtant… Encore une humaine ew. L’espionne s’arrête brusquement, ose un regard vers le chat qui se lèche la patte avec grâce. J’ai dû rêver. Commente Romy en l’observant. Leurs regards se croisent et l’étrange phénomène recommence. Elle me veut quoi elle ? On peut plus faire sa toilette tranquille. Elle cligne des yeux plusieurs fois. Ok j’deviens folle. Je vais faire comme si j’avais rien entendu. Car la seule explication plausible à cette nouvelle capacité, tout du moins, si elle n’a pas rêvé, c’est le coma. Une pièce créée de toute pièce par son cerveau pour la protéger de ce qu’il se passe en réalité. Le cerveau est exceptionnel, Romy le sait bien. Quand elle se pointe dans le petit salon, prise étrangement d’une migraine, au point de se tenir une de ses tempes, elle n’est pas seule. Comme elle, d’autres papillons ont été attirés par cette lumière sonore. Ils sont tous autant perdus qu’elle, elle le voit à leur attitude. Une femme demande si ils savent ce qu’ils se passent, malade apparemment. Apparemment elle n’est pas la seule à avoir des symptômes surgissant de nul part. Un autre vient de foutre le feu à un coussin. Ca ne fait qu’appuyer l’hypothétique univers créé par son système nerveux, presque soulagée de voir que dans cette ultime tentative de protection, elle n’est pas seule. A jouer le jeu, Romy est la plus forte, la plus flexible si bien qu’elle se laisse tomber dans un des fauteuils moelleux et commente le mini incendie déclenché par le pyromane du coin. Une farce peut-être, mais aux allures d’enfer si on a des incendies aléatoires qui se créent sans prévenir. Cela dit, ça peut être utile pour les barbec’. Un sourire en coin se dessine sur ses lippes jusque là fermées aux émotions et Romy finit par demander : J’suis la seule à avoir l’impression d’être folle ? Et pourtant, de tous, peut-être semble-t-elle être la plus sereine.

dans le rp
romy s'interroge sur sa présence ici alors qu'hier encore, elle a le souvenir de se trouver en jordanie. elle cherchait des infos quand la musique s'est élevée et en suivant l'origine du bruit, est tombé sur le chat. elle l'a entendu penser et de là, s'est élaboré une première théorie. elle a rejoint la salon, et comme les autres, se posent des questions, répond aussi à  @Ramsès Dewill mais est étrangement sereine.
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sweet dreams ― w/everyone

Elle se trouve dans un lit plutôt confortable lorsque son corps semble s’éveiller et si la cabosse est lourde et l’esprit embrumé comme un lendemain de soirée, Willa est pourtant persuadée ne pas avoir fait la fête la veille. Presque instinctivement elle comprend qu’elle ne se trouve pas chez elle et ses sourcils se froncent, passant une main devant son visage avant d’observer la pièce en papillonant les paupières. « what the hell ? » un autre lit se trouvait dans la pièce, un seul mais assez pour lui faire part d’une colocation dans ce lieu qu’elle ne connaissait absolument pas. Rien ne lui disait quoique ce soit d’ailleurs, elle découvrait amplement la pièce sans que le moindre souvenir d’y être délibérément venu pour y piquer un somme ne lui revienne. D’ailleurs de ses souvenirs, elle remarque que sa mémoire est difficile, conflits dans ses pensées alors que du bruit s’entend à ce qui semble être l’étage du dessous. Une vieille musique des années 80 berce ses lèvres d’un murmure chantant qu’elle n’a pas envie de taire, se recoiffant devant un miroir avant d’ouvrir en grand son armoire. Seulement le mouvement amène de la poussière à se soulever et dès lors que celle-ci lui chatouille les narines, le début d’un éternuement lui vient. Elle ressent un frisson remonter le long de ses bras et la gêne gratter juste derrière son nez, ouvrant la bouche et se préparant à éternuer, Willa se sent pourtant toute étrange sans le réaliser et tout aussi soudain qu’il ne le faut pour attiser ses allergies dans un seul mouvement de porte, elle se volatilise. Ce n’est pas douloureux mais c’est instantané et assez brusque, si bien qu’à l’arrivée, la blonde trébuche et se retient contre le mur à ses côtés. Il ne lui a fallu qu’une fraction de seconde pour se téléporter mais la voici désormais dans un couloir – qu’elle ne connaît toujours pas évidemment – et où des personnes, plus loin, passent afin d’entrer dans une pièce. « hééé toi ! » mais si tôt ouvre t’elle la bouche pour l’interpeller qu’un second éternuement lui vient. Alors elle se volatilise à nouveau et cette fois-ci elle sent son énergie bien diminuer, de frissons épuisants à cette sensation froide lui courant sur la peau, elle rouvre les yeux face à de nombreuses personnes rassemblées et semblant tout juste d’éteindre un.. feu ? Willa trébuche encore une fois, étourdie par la téléportation qu’elle ne comprend pas, qui la fait rire au fond, elle a l’impression de rêver mais le bras sur lequel elle fait reposer sa main en se retenant à la première personne à ses côtés lui paraît carrément réel. « oh mais t’es réel. » elle ne s’excuse pas, s’étonne juste en croisant son regard. « on est pas tous en train de rêver là ? » et puis elle se met un peu à rire en se redressant parfaitement sur ses jambes, rejetant ses cheveux en arrière tandis que ses yeux chocolats balaient la pièce. « c’est quoi en fait ? une intervention collective chez les faux x-men ou un escape game grandeur nature sans qu’on ait donné notre accord ? » et si son sourire atteste de son amusement, elle a le coeur qui tambourine à l’idée que ce soit bien pire mais bon.. de toute façon ça ne peut qu’être un rêve, comment aurait-elle pu se téléporter deux fois sinon ? Elle n'avait rien de spécial Willa, ou du moins avait l'impression de ne jamais s'être déterminée d'une quelconque façon dans sa vie, sentiment qui lui colle instinctivement à la peau alors qu'elle ne se souvient pas vraiment de sa vie avant ce jour.

dans le rp
deux téléportations involontaires et willa débarque dans le salon en se raccrochant à quelqu'un (feel free)
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Sweet dreams ― w/everyone

S'éveille tel un enfant ayant tapé sa meilleure sieste, les paupières lourdes et le corps qui nécessite de s'étirer pour mieux réaliser où il est. La position latérale de sécurité se défait aussi lentement que la réalisation qu'il a, pendant tout ce temps, cuddle et bavé sur un paquet de nouilles type Panzani. Une petite dalle qui creuse l'estomac d'un coup, pas plus inquiété que ça d'être couché dans un cellier qu'il n'a jamais vu auparavant. A du trop fumer la veille. Remet tranquillement ses chaussures et chaparde quelques gâteaux (tant qu'à faire) avant d'entrouvrir la porte pour se casser. La retient au dernier moment en assistant à un truc complètement dingue, persuadé qu'il doit être filmé sans le savoir. Une nana complètement random vient de faire bouger de l'eau comme s'il sagissait d'un serpent et elle, une flûte traversière géante. « Hein » pas si choqué que ça pourtant, comme s'il en avait vu d'autre (non). A du rêver c'est sûr. Si ça se trouve il est encore par terre à serrer tortellinis dans ses bras comme si c'était la femme de sa vie. Attend quand même qu'elle se casse par sécurité pour se dévoiler entièrement, regardant sa chevelure qui disparaît au coin de la porte puis la flaque d'eau qui parsème le sol. Pas sûr de vouloir la réponse il y fout néanmoins un pied pour vérifier si elle existe bien, laisse les marques de sa godasse un peu partout dans le périmètre sans faire gaffe et manque même de se ramasser une ou deux fois. N'importe qui de sensé suivrait les notes de musique mais pas lui, trop occupé à se goinfrer de granolas en touchant un peu à tout. Se demande si les tableaux sont des vrais, si les canapés n'ont pas des coussins aspirateurs façon Totally Spies ou encore des gadgets cachés mais ne trouve rien. N'y met pas toutes ses forces non plus sans se mentir. Vient seulement de se réveiller et Sully il lui faut du temps pour décoincer la tête fourrée au fond de son cul. Si bien qu'il finit par rejoindre un groupe de personnes un peu hasard lâchant un simple « Ah  » signaler sa présence. l'a rien suivi et là encore, cherche pas à comprendre les questionnements des uns et des autres. Se contente de les regarder tous puis les petits sachets de biscuits qui remplissent le fond des poches de son jean délavé « Granolas ? » Sa main tendue avec un paquet ouvert, en reste plus que trois comme en atteste les trop nombreuses miettes parsemées dans sa barbe. Une main le chope par l'épaule et la surprise toujours aussi lente est bientôt remplacée par un sourire moitié endormi « Toi aussi ! » Sait pas trop pourquoi ça l'enchante autant Sully. Comprend même pas bien de quoi il est question, proposant une fois de plus l'un des gâteaux à la blonde perchée à côté de lui. « Chelou l'ambiance d'cette fête un peu » Lunaire. Croit encore qu'il s'agit de l'after d'un after... D'un after.

dans le rp
Il se réveille dans le cellier, bouffe des gâteaux, voit Tess faire un tour de magie avec de l'eau mais n'ose pas l'interrompre, vadrouille puis rejoint les autres en leur proposant des Granolas. En gros il a rien suivi et répond à Willa en fin de réponse
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sweet dreams― w/everyone

assise sur l'une des marches de l'escalier central, l'a le coeur qui bat fort, amour, et les mèches de cheveux qui lui tombent sur les yeux. débrief mental: réveil brumeux sur un lit qui n'est pas l'sien, des draps tout blancs (elle est pourtant presque sûre de préférer la couleur) qui sont déjà défaits sous elle, qui tombent un peu au sol comme si quelqu'un s'était déjà débattu avec. manoir lugubre, et des gens à chaque croisement qui semblent tous aussi perdus les uns que les autres, tous aussi perdus qu'elle. certains le montre plus que d'autres (yeux écarquillés, mâchoire qui tombe de surprise, crises de panique et hyperventilation, hurlements, bref toute une ribambelle de symptômes que l'on ne devrait avoir qu'en fosse du concert de notre star préférée) et amour, elle, ne cherche qu'à se trouver un coin tranquille.

une musique retentit et tout le monde, autour d'elle, relève la tête. ils pensent tous à une annonce, un possible message, un truc important qui donnerait peut-être des réponses. certains se ruent dans l'escalier pour descendre à l'étage du dessous, manquent presque de la bousculer, elle qui avait rien demandé. une main qui se veut sans doute rassurante se pose sur son épaule, un mouvement de tête poli qui lui indique de se lever. en deux secondes, l'inconnu.e est déjà en bas. ok, elle s'dit t'as raison, vaux mieux suivre tout le monde. amour descend les marches d'un pas assuré, ni pressée ni traînant des pieds, et rejoins le petit salon du premier dans lequel déjà tout un tas de gens se sont rassemblés.

amour rejoint un fauteuil, l'assise est bien moelleuse, dans un cuir un peu abîmé mais confortable. elle croise les jambes, puis observe. l'a la tête et le bout du pied qui bougent en rythme, incapable de résister au rythme entraînant de l'un des plus grands tubes des années 80. se retient presque de chantonner. elle remarque d'un côté les paniqués, de l'autre ceux qui se pensent en fin de soirée. elle, elle saurait pas trop dire, si c'est une fin de soirée semble-t-il qu'elle ai été bien dosée en badtrip, vu l'état des gens. en tendant l'oreille elle entend même un type qui prétend avoir cramé des trucs. l'a l'habitude d'attendre amour, de voir les opportunités qui s'offrent à elle avant d'en saisir une, alors elle attend - solo sur son fauteuil, comme une mafiosa.

dans le rp
amour se réveille sur un lit au 3e. elle s'assoit d'abord sur les marches mais finit par suivre le mouvement (grâce à l'élan de quelqu'un) pour rejoindre le salon. elle n'a encore parlé à personne, s'assoit en retrait dans un fauteuil et observe/écoute un peu tout le monde autour. (+ n'a pas encore découvert son pouvoir)
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enfin, il a réussi à décoincer son regard de son reflet dans le miroir. jamais été spécialement fan de lui-même alors qu'est-ce qu'il lui prenait tout à coup, de plus pouvoir arrêter de se reluquer ? l'eau froide éclabousse l'émail du lavabo pendant que nilam secoue la tête. fatigué. et ça commence à marteler sous son crâne. la parade de disney au grand complet s'invite pour piétiner la dessous tout à coup. puis y a la nausée. l'impression d'avoir les cheveux qui poussent à l'intérieur. la bouche pâteuse. putain mais j'ai la gueule de bois en fait...ça le fait sourire, pour le coup, juste avant qu'il ne se passe le visage à grandes eaux pour essayer de se réveiller de l'hyper focus presque hypnotique où il se trouvait, passionné par ses propres mots tout à coup. ok, c'était pas une crise de mégalo. pas non plus un truc si bizarre que ça... juste l'effet d'une soirée trop arrosée. ça peut expliquer aussi pourquoi le décor autour ne lui dit rien. qu'est-ce qu'il fiche dans cet endroit aux atours bourgeois ? aucune idée. les souvenirs sont...flous. oui, flous, pas absents comme il en a eu la sensation. ils vont revenir, quand il aura totalement dégrisé. voilà, c'est ça. un rapide regard au miroir, hésitant tout de même, comme on en lancerait à une gorgone. les cheveux mouillés et en bataille, le brun sort dans le couloir...où quelques accords identifiables à la seconde résonnent. puis la voix envoutante et les paroles énigmatiques. nilam sourit à nouveau. rit même un peu de sa propre parano au réveil. ça doit être un enterrement de vie de garçon, c'est tout. mais de qui ? pfff. trop mal au crâne pour se poser la question. il verrait bien en arrivant là où la musique l'invite à aller.

sauf qu'en chemin, passent sous son nez médusé une ou deux personnes. une fille et un gars barbu. les mirettes noisette de nilam s'écarquillent. c'est pas la strip-teaseuse ça donc...la théorie de l'enterrement de vie de garçon en prend un coup. il hâte le pas en suivant les deux autres, qui ne semblent pas l'avoir vu. porte à peine attention au décor, tant l'étrangeté de tout le reste l'aspire. la gorge un peu nouée, il entre dans le petit salon en se mordillant la lèvre. et tombe des nues. c'est qui ces gens ? pas la moindre idée mais bordel, y a définitivement rien qui ressemble à une bachelorette party ou quoi que ce soit d'approchant. a part peut être le coussin qui a flambé quelques instants. ça oui, ça cadrerait. assise dans un fauteuil, la jeune femme qui est passée devant lui juste avant, suivie du barbu. qui mange...des granolas. c'est vrai qu'il a la dalle, aussi. il fait un petit signe de main à la brune, le visage perplexe et s'approche du type aux providentiels biscuits, en chipant un avec un sourire pour le fournisseur. — "Merci. Et chelou, comme tu dis..." pas de quoi l'empêcher de mordre dans le biscuit. meurtre par empoisonnement de granolas, ça serait une première tout de même. et il n'a pas encore atteint ce level de paranoïa. les yeux balaient la pièce et les visages présents. leur tension se communique à lui et nilam se force à prendre une grande inspiration. lève les mains au ciel et pose la question la moins originale du coin sans doute: "Qu'est-ce que c'est ce bordel ?" suivie d'une autre un peu plus utile peut-être. "Vous êtes...?" et d'une précision personnelle. "Moi c'est Nilam..." le mal de tête le fait grimacer et il s'assied dans le canapé en se passant la main sur le front avec un long soupir, grommelant entre ses dents quelque chose en hindi qui doit pas être traduisible sans être bipé à chaque mots sur MTV.


dans le rp
nil sort de la salle de bain au 3e. il découvre son pouvoir, mais ne le comprend pas comme tel et met le tout sur le compte d'une gueule de bois. sorti dans le couloir, Eurythmics et les silhouettes de deux inconnus le mènent au petit salon, où il découvre le pas si joyeux bordel. et pose quelques questions tout en prenant un des granolas dispos et gentiment proposés.

feel free d'utiliser le malus de son pouvoir à votre guise: l'ignorer totalement comme s'il était un meuble ou hyper focus sur lui, au choix!
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C'est sans doute son dos endolori qui la réveille. Étalée au sol, comme si elle était tombée de son lit, Sigrid se relève, totalement hébétée, incapable de remettre l'endroit sur lequel elle ouvre les yeux. Non, définitivement, cette chambre ne lui dit rien. Un lit est déjà défait, mais personne d'autre en vue. Elle tente de fouiller sa mémoire, mais sans bien saisir pourquoi, elle n'y voit que sa grand-mère, n'y sent que l'odeur enivrante des selmor de mardi-gras... Le reste est flou, un amas de questions sans réponse qui palpite sous son crâne. Elle soupire un peu, inspire tranquillement, bercée inconsciemment par un bruit de fond délicat, rassurant, comme une journée de pluie et son calme tranquille, alors que derrière la fenêtre qu'elle aperçoit, pas une goutte ne semble tomber.
Debout, finalement, elle s'approche de la porte, risque un œil dans le couloir, au moment où une silhouette disparaît au bout. Elle n'est donc pas seule ici, c'est déjà ça. Peut-être qu'elle a eu un accident, qu'elle ne se souvient de rien, mais que quelqu'un ici sera capable de lui remettre les idées en place. Le bruit de la pluie est rapidement remplacé par de la musique quand elle réalise que c'est Eurythmics qui résonne dans l'espace autour d'elle. Disons que ça ne rajoute rien de très sensé à la situation, mais ça éveille sa curiosité, à la suédoise, et Sigrid se met en mouvement, cherche un moyen de trouver la pièce d'où lui viennent les notes de sweet dreams, et les quelques voix qu'elle semble percevoir derrière.

Mazette ! Depuis quand les femmes ont-elles la lubie de se raser la tête ? C'est sorti de nulle part, Sigrid ne sait pas d'où ça vient ; elle tourne sur elle-même mais ça tourne un peu trop au final. Le mur d'à côté arrive un peu trop vite, et voilà que son épaule s'y heurte sans retenue. Aouch ! qu'elle se plaint, alors qu'un rire un peu moqueur lui parvient tout près d'elle, comme sortant du mur ; ou presque. Un portrait, un tableau accroché là, qui représente cette jeune femme aux longs cheveux bruns. Et elle la regarde, Sigrid, d'un œil un peu dégoûté, à se demander d'où sort cette blonde et ses deux pieds gauches. Sigrid, dans un mouvement de recul surpris, se prend un autre mur, trébuche sur un tapis et bascule sans attendre dans les escaliers qui mènent à l'étage inférieur, dans un cri étonné et un vacarme assourdissant. Certes, elle a toujours été plutôt maladroite, mais de là à en perdre tout contrôle de ses propres membres...
La chute est loin d'être sympathique, mais Sigrid ne peut retenir un rire face à sa situation. Elle se redresse avec une grimace et tâte rapidement la bosse qui pointe sur un coin de sa tête. Elle n'est pas certaine de savoir comment expliquer ce qui vient de se passer, mais elle en vient à se demander si elle ne serait pas plutôt en train de rêver. Se rappelant peu à peu qu'elle prévoyait de suivre la musique, elle se remet sur ses pieds et descend les escaliers suivants, bien plus normalement cette fois-ci.

Sans mal, elle trouve la pièce où les premiers se sont rassemblés ; les voix échangent leurs premières impressions et visiblement, personne n'a plus de réponses que de simples suppositions qu'elle a elle-même tenté de faire. Elle s'avance au niveau des autres, rejoignant ce petit groupe hétéroclite dont elle fait désormais partie. Est-ce qu'il n'y a que moi à qui il est arrivé un truc... vraiment chelou, ou bien c'est généralisé aussi ? Elle repense au portrait animé, se demandant si elle pouvait parler de magie ou si elle devenait vraiment timbrée. Elle se laisse tomber sur le canapé, bousculant un brun qui venait de s'y installer et que, sans bien réaliser comment, elle n'avait absolument pas remarqué. Skit*, je t'avais pas vu, s'cuse-moi ! (*merde) Dans ses oreilles, Eurythmics continue de tourner, un peu plus fort, grésillant, et le son lui fait tourner la tête vers une porte dans un coin de la pièce. Quelqu'un a essayé d'ouvrir pour voir ce qu'il y a derrière ?


dans le rp
Sigrid quitte la chambre 10 au 3e étage, suivant la musique. Elle est arrêtée lorsque son pouvoir anime un portrait qui l'interpelle et, surprise, elle tombe dans les escaliers.
Elle rejoint finalement le petit salon, où elle s'ajoute à la discussion, en posant une question sur les pouvoirs.
En rejoignant le canapé, elle manque de s'asseoir sur Nilam qu'elle n'a pas vu. Comprenant que la musique vient de derrière la porte, elle cherche à savoir si quelqu'un a tenté de l'ouvrir.
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Elle pense sa tête posée contre ce qu’elle croit être le sommier métallique de son lit. Sensation glaciale peu réconfortante, sa tête se dandine à droite, à gauche, en quête de ce qui pourrait s’apparenter à un oreiller, qu’elle ne trouve pas. Elle réfléchit, jauge de la situation puis délibère, les yeux clos... elle capitule, point au sommier glacé, elle restera dans cette position, son esprit trop en vrac pour se dire qu’elle pourrait utiliser ses mains.

« Quel froid… » Articulation hasardeuse de celle qui a trop dormi. D’un geste de l’épaule, elle va pour réhausser le fin drap qu’elle sent contre elle jusqu’à ce qu’il recouvre le haut de sa nuque. Par malchance, elle sent au contraire le drap disparaître de son épaule et tomber à terre dans un murmure feutré quand elle le fait : elle lâche dans sa tête une injure un peu facile et se décide enfin à prendre l’une de ses mains pour ramasser le drap… Puis ses yeux s’ouvrent grand, comme dans un mouvement de frayeur.

Son drap : une myriade de pétales posés tant contre elle qu’ils eurent comme épousé les courbes de son corps et dessiné l’ombre d’une couverture et dans sa main, fermée en un poing que l’on ne saurait desserrer, une poignée de ces captifs. Elle a le cœur qui se déchaîne en se levant et elle capte que le sommier métallique est un vieux congelo’, posé au cœur d’une pièce vide qui ne lui rappelle rien, entouré de cartons éclairés par la faiblarde lumière disposée à l’intérieur d’une petite lanterne… Elle est effrayée. Son corps est une toupie qui fait des tours sur lui-même pour observer le moindre détail dans le moindre recoin, de plus en plus apeurée quant à l’idée de s’arrêter et de laisser derrière elle un angle mort d’où pourrait surgir je-ne-sais-qui. Son attention finit par s’arrêter sur l’embrasure d’une pièce d’où émane une lumière plus vive qu’ailleurs : elle fuit alors l’obscurité qui la terrorise en courant.

Une nouvelle insulte quand son pied, par sa tranche extérieure, s’arque sur le sol et la déséquilibre : elle tend une main en avant pour retenir sa chute, qui vient buter contre le sol rêche de la cave. Bon gré mal gré, elle fait basculer son corps pour que son flan gauche vienne taper contre le sol et protège sa tête. Les yeux encore grand ouverts, elle retarde le moment de se lever d’une seconde. Et un pétale vient se poser contre sa tempe droite.


dans le rp
Basiquement, Alba reste dans la cave. Je fais tout ça en plusieurs étapes donc vous pouvez ne pas en tenir compte, gardons l'action au premier étage, de toute Alba finira bien par arriver à monter. Mais pour un résumé de l'action, à cause du tournis Alba s'est salement gamellée.
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Ce n'est pas la douleur qui réveilla le jeune homme, mais plutôt une balade qu'il connaissait trop bien. Une chanson qu'il avait entendue mainte fois. Ce rythme synthétique et étouffé, venait d'une pièce en dessous. En ouvrant les yeux, il était couché par terre, les deux jambes remontées sur son lit, apparent il avait chuté et peut-être même que c'était cette mésaventure qui l'avait tiré de son sommeil. Il releva la tête et mit ses coudes au sol pour se remonter et inspecter rapidement la pièce. Son corps manqua un battement lorsqu'il se rendit bien compte qu'il ne connaissait pas l'endroit. Il se releva à 90° et releva son chandail pour inspecter son corps. Étrangement, la première pensée qui effleura ses pensées étaient qu'il avait été kidnappé et qu'on lui avait subtilisé un rein. Manifestement, l'absence de cicatrice réfutait cette idée saugrenue. En inspectant la pièce, il remarqua que la porte était entre-ouverte. Il y avait en fait une ouverte d'à peine quelques centimètres. Toujours assit par terre, il décela une ombre passée devant lui. Il se relève doucement pour ne pas faire de bruit et se place droit dans la porte pour jeter un coup d'œil. C'est alors qu'une femme, cheveux rasées, passa devant l'embrasure de la porte. Cette dernière s'arrête tout près de lui et regarde le mur d'en face avant de tomber par derrière et débouler les escaliers. Un peu surpris, il se rend compte qu'il devait s'être réveillé dans une piquerie et que ces gens étaient simplement des junkies en plein trip.

En se retournant, il remarque qu'il y a une jeune femme couchée dans un lit juste à côté du sien. Cette femme, elle semble encore assoupit. Il s'approche d'elle et en profita pour tendre son poignet près de ses lèvres pour sentir un souffle de vie, preuve qu'elle devait encore être vivante. Rassurer qu'elle n'ait pas fait d'overdose, il se dit qu'il serait mieux de quitter avant qu'il se passe un truc qui pourrait le mettre dans la merde.

En sortant, il regardait à droit et à gauche pour être certain d'être seul. Vraiment il voulait seulement retrouver la sortie le plus rapidement possible et oublier cet imprévu. Malheureusement, il se rendit bien compte qu'il devait passer par le petit salon ou s'était agglutiné d'autres personnes. Il resta en haut des escaliers quelques secondes avant de prendre son courage à deux mains et descendre les escaliers. Après tout, ils semblaient tous ne pas vraiment comprendre ce qu'il se passait. Il constata rapidement qu'une odeur de fumée hantait ce lieu, il repéra rapidement un coussin fumant qui avait été balancé par terre.

Le rouquin ne dit rien et préféra rester dans son coin, le regard soutenu et observant chacun de ses comparses qui cherchaient une raison de leur venu dans cet endroit. Il finit par briser son silence pour ajouter une hypothèse aux histoires qui pleuvaient de tous les côtés. — On dirait plutôt un centre de rehab si vous voulez mon avis. Lança-t-il avait une pointe de sarcasme en voyant tous ces gens devenir fou, cherchant des réponses à cette madness.

dans le rp
il se réveille dans sa chambre et remarque une femme tombé des escaliers, il va voir sa coloc qui dort encore dans son lit, mais décide de partir ne sachant pas de qui il s'agit. Il se retrouve dans le salon où il reste en retrait avant de lancer une pointe assassine.
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La pièce commence à se remplir.
Les gens affluent de part et d'autre et Ramy a d'la peine à suivre les conversations, les mots échangés. D'autant plus lorsque la première téléportation survient devant ses yeux complètement effarés. C'est qu'il n'est pas prêt pour tout ça, l'gamin. Lui, il est persuadé d'être dans une sorte d'expérience ou de télé-réalité toute construite où tout n'est que fiction... non, à dire vrai, il est persuadé que tout ça n'est que le fruit de son imagination. Mais il ne se connaissait pas aussi doué, à dire vrai.
Non, pas au point d'inventer autant de visages, autant de dons.
Plus les gens se pointent et plus il réalise que son cerveau n'a pas les capacités d'imaginer tout ça. Alors quand l'gus propose un biscuit, Ramy lève la main Volontiers. qu'il dit sans sourire, perplexe. Quand enfin quelqu'un semble s'intéresser à ce qu'il se passe de l'autre côté de la porte fermée, Ramy décide de se lever du fauteuil dans lequel il s'était avachi. Ouvrir la porte ? L'idée n'est pas mauvaise mais pourquoi ? Il ignore tout de ce qu'il se passe et plus il y réfléchit, plus il sent poindre la migraine. Vous avez tous des super-pouvoirs où comment ça s'passe ? qu'il interroge en regardant les autres. Parce que lui, il n'a rien remarqué d'étrange, à croire qu'il est le seul à ne disposer d'aucune fonctionnalité intéressante. Entre le mec qui brûle les coussins, l'autre qui apparaît n'importe où les interrogations qui sont en train de se soulever, il en est presque à se demander s'il ne serait pas l'exception à la règle. Franchement, c'est pas juste... quitte à m'retrouver ici, j'voudrais bien pouvoir voler moi aussi. il le dit plus pour lui que pour les autres. Par mimétisme, il fait preuve d'un flegme incroyable mais en lui, tout est électrique. Il s'avance vers la jeune fille qui s'interroge sur la porte fermée. Si tu veux, on peut l'ouvrir ensemble ? parce que la curiosité est un défaut qu'il possède depuis toujours et que, de toute manière, rien ne pourra être pire que cette pièce remplie d'êtres surnaturels - ou surdoués, c'est au choix.

dans le rp
Ramsès ne comprend plus rien, il semble un peu surpris par les dons de ceux qui l'entoure. Il accepte un granola (ouais c'est un gentil) pour se changer les idées mais la question soulevée par @Sigrid Magnusson l'interpelle, du coup, il lui propose d'ouvrir la porte avec elle.
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La table est vraiment confortable.
C'est la première pensée qui me traverse tandis que, inconsciemment, je me mets dans une meilleure position. Vraiment confortable. Et moelleuse. Attendez une minute. Une table ne peut être moelleuse ! J'ouvre subitement les yeux et au lieu de retrouver la table et les feuilles que j'étudiais, je me retrouve allongée sur un lit. Un lit ! Et ce n'est pas chez moi. Qu'est-ce que c'est que ce bordel ?

Je me redresse d'un seul coup -jamais je ne me suis redressée aussi vite de ma vie- en observant la chambre dans laquelle je me trouvais. Définitivement pas la mienne. Il y a d'autres lits et la déco c'est vraiment pas ça. Fronçant les sourcils, je me lève et époussète mes vêtements. J'entends soudain une sorte de radio qui grésille et qui entonne une vieille chanson. Ou est-ce que je suis tombée ? J'ouvre la porte à la volée, le coeur battant. Je n'étais même pas sûre que la porte s'ouvre. Allais-je tomber sur mes ravisseurs ? Sur quoi est-ce que je pouvais tomber d'ailleurs ? J'entends du bruit, des gens, des cris et toujours cette chanson.

Je prends la décision de rejoindre le bruit environnant sans savoir à quoi je devais m'attendre. Et je ne m'attendais pas à tomber sur autant de personnes qui ne semblaient pas se connaitre. Je tombe sur une cuisine et soudain, c'est vraiment trop pour moi. Je ne comprends pas où je suis et qui sont ces gens. Deux petites boules de feu s'allument dans mes mains sans que je ne comprenne pourquoi -et comment-. Prise de panique, et ayant soudain très très chaud, je me précipite pour tenter d'éteindre ce truc. J'hallucine, j'ai mangé quelque chose de pas net. Tant pis, je touche le robinet en ayant le secret espoir qu'il ne va pas fondre et plonge mes mains sous l'eau. Les flammes semblent résister un moment puis s'éteignent. On m'a droguée, je ne peux pas avoir eu du feu dans les mains et ne pas être brulée !

J'ai chaud, si chaud que je prends une petite planche à découper -première chose qui m'est tombée sous la main- et je m'en sers pour me ventiler. Il fait vraiment chaud d'un coup.

Je sors de la cuisine pour rejoindre les autres dans un salon. Il y vraiment beaucoup de monde. Je capte la discussion de deux inconnus sur le fait d'ouvrir une porte qui fait un drôle de bruit. Je suis d'accord avec eux.

- Si c'est le seul moyen d'obtenir des réponses, je pense qu'il faut l'ouvrir oui.

Je n'avais pas envie d'attendre pour ouvrir cette porte. Thomas devait me chercher. J'avais disparu après tout. Alors je m'avance, pleine de détermination vers la porte, et pose ma main sur la poignée.

dans le rp
Astrid se réveille dans une chambre une deuxième étage et descend rapidement, attirée par le bruit et par l'envie de sortir de cette drôle de maison. Elle passe par la cuisine et découvre son pouvoir (croit avoir pris de la drogue parce qu'elle doit sûrement halluciner) et finit dans le salon. Elle entend la discussion de  @Sigrid Magnusson &  @Ramsès Dewill à propos d'ouvrir la porte. Elle veut l'ouvrir et pose la main sur la poignée de ladite porte.
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tw: au cas où: langage fleuri parfois

sweet dreams ― w/@everyone


rien ne s'arrange dans cette pièce. en plus de tout ce qui se passe, elle fait l'effet de rétrécir à nilam, à mesure que des gens se rajoutent à l'attroupement déjà présent. et justifié. une liane blonde aux cheveux rasés manque de le prendre comme coussin. sérieux ? elle a l'air de pas du tout l'avoir vu...et lui bloque sur le sujet, pas parce que son ego en aurait pris un coup mais parce qu'a priori, c'est pas la seule, vu le manque de réponses à ses vocalises. la possibilité d'être vraiment invisible est écartée de suite, quand la demoiselle s'excuse de pas l'avoir calculé. "Y pas d'mal, vraiment..." qu'il lâche, déboussolé. trop de choses en même temps. l'espace clôt et cette migraine de l'enfer n'aident pas. et cette voix qu'ils entendent derrière la porte. au moins ça n'est pas lui qui hallucine. puisque plusieurs personnes ont l'air de s'intéresser à la porte en question.

d'un mouvement sec, presque brutal, mu par la tension, le brun s'arrache au canapé et jette un regard vers un grand mec baraqué, roux ou quelque chose dans ce goût là, il fait pas vraiment gaffe, qui parle de centre de rehab. ça lui fait soulever un sourcil. "Ah oui, direct ? Tous camés..." il soupire et hausse les épaules avec une grimace. "Ouais, pas plus con qu'une autre théorie. Pour ce que j'en sais, ça pourrait aussi bien être un asile." et au blond qui posait la question pour les pouvoirs, hausse les épaules avec un laconique : "Moi j'pense pas..." pas encore au fait de sa capacité, le gus. et il ne s'attarde pas sur le sujet. ces questions sans réponses le mettent mal à l'aise.

l'angoisse commence remuer comme un serpent dans ses entrailles, là où elle est lovée devant le réveil. alors il prend le parti de ceux qui veulent agir. voir. savoir. c'est le nerf de la guerre pour nilam depuis toujours. pour ça qu'il a choisi un chemin de science. une des rares choses dont il se rappelle. alors il s'avance vers le petit groupe qui fait face. en essayant d'avoir le pas et la voix assurée. ça lui demande un effort qui lui met les nerfs en pelote. la peur reflue un peu, sous l'effet d'une colère qui ne demande qu'à prendre sa place. il inspire profondément en se plantant à côté des autres, pour se calmer. et hoche, en se demandant si quelqu'un le verra cette fois. "Une voix de plus pour ouvrir cette pu...cette porte." la même voix qui rajoute: "Je me mets devant pour me faire bouffer par ce qui sortira, si vous voulez. Juste, jurez moi que vous lui ferez la peau après."

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dans le rp
nil pige pas quand @Sigrid Magnusson a l'air de voir la place où il squatte comme vide mais se dit que ça doit être qu'elle aussi est déboussolée. arrivent d'autre personnes, le monde dans la pièce commence à le rendre claustro et après des rapides réponses à  @Chet Mitchell  et  @Ramsès Dewill , il décide que bouger reste le mieux à faire. et fait part de son accord à ouvrir la porte à ses camarades. sans être sûr qu'il sera entendu.
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C’est le chaos, et Tess reste là sans bouger, à seulement toiser ce qu’il se passe. Il y a ce garçon qui met le feu à un fauteuil, et elle ne songe même pas à user de son étrange nouvelle capacité - l’est-ce vraiment ? ou son pseudo contrôle sur l’eau aura-t-il disparu dès le lendemain ? Elle semble empêtrée dans le brouillard, observant les gens bouger, écoutant les conversations des uns et des autres sans toutefois participer plus que de raison. Tout n’est que confusion et anxiété, elle a l’impression de recevoir des coups de poings dans le ventre à mesure que les secondes passent. Est-ce que toi aussi tu te sens bizarre ? Elle questionne une fille assise dans un siège à côté d’elle, elle aussi silencieuse. Elle ne saurait pas expliquer à quel point elle se sent bizarre, mais c’est une sensation vraiment désagréable. J’ai mal à la tête, se plaint-elle en se massant les tempes, et en s’enfonçant dans le dos du fauteuil tout en écoutant les théories des uns et des autres sur leur présence ici. Elle, ne sait pas quoi croire. Expérience dont ils sont les cobayes ? Elle n’y croit pas. Centre de désintox, encore moins. Elle n’a beau trouver que du vide quand elle essaie de puiser dans ses souvenirs, elle n’a pas l’impression d’être une droguée ou une alcoolique. Non, si elle devait être honnête, son hypothèse à elle est bien plus morbide. Et s’ils étaient tout simplement morts ? Attendant quelque chose dans l’au-delà ? Elle se garde bien de partager cette hypothèse cela dit, très peu envie de passer pour la folle de service, et puis si c’est bien une question de vie après la mort, ça leur est propre, ça ne regarde qu’elle. On devrait peut-être ouvrir la porte. Murmure toujours adressé à la fille à ses côtés, Tess soupire en voyant que l’hypothèse est suggérée de plusieurs autres personnes, mais n’avance pas immédiatement son accord. Attend que deux autres personnes votent pour ouvrir la porte pour ramener sa jambe jusqu’à elle et enfin admettre ce qu’elle pense à voix haute, pour que les autres entendent. Je pense aussi qu’on devrait ouvrir. On pourrait peut-être avoir des réponses sur ce qu’il nous arrive. Il commence à y avoir du monde, les gens s’agglutinent et Tess commence à avoir du mal à respirer, quand la réflexion d’un garçon lui arrache un sourire. Si on a vraiment des pouvoirs, je suis pas sûre qu’on sache comment les utiliser pour te sauver. Ou te venger. Sourire mi-désolé, mi-amusé, elle continue d’observer, ne sera pas celle qui franchira la porte la première.

dans le rp
Tess est pas mal inquiète, ne parle pas beaucoup mais engage quand même la conversation avec @amour apostol puis quand les gens commencent à suggérer d'ouvrir la porte, elle fait part de son accord, puis s'adresse vite fait à @nilam foster
Aaron Flint
Aaron Flint
Messages : 52
Points : 62
pronoms irl : elle/she.
feat & crédit : corey mylchreest @lumos solem + @lionheart (cs)
― sweet dreams are made of this 6d14bc69081330cd62bf7eb0f3da2073659609d5
tu dors où ? : uc.
ton inventaire : ― sweet dreams are made of this Zu37yYdB_o

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sa baguette magique, quelques gallions, son ukulélé, des lunettes de soleil volées à sa soeur, un maillot de l'équipe de quidditch des frelons avec les autographes de tous les joueurs dessus, des livres qu'il ne lira surement pas, uc.


   
sweet dreams ― w/everyone

Jackpot ! s'entendit-elle crier d'une voix lointaine, bien trop lointaine pour que celle-ci lui appartienne vraiment ou du moins, ce fut ce que Rose pensa sur le coup et qui la ramena à la réalité. Au présent pour être exacte puisqu'à peine une seconde plus tard, ses yeux papillonnèrent avant de s'ouvrir complètement. Alors elle était en train de rêver ? Le filet de bave qu'elle essuya d'un revers de la main dans un « ew » écœuré termina de la convaincre qu'elle était bien tombée dans les bras de Morphée la veille sans même s'en rendre compte ou prendre la peine d'enfiler son pyjama. Elle le sentait, l'air frais sur ses jambes nus et l'inconfort provoqué par les talons aiguilles qu'elle avait porté pour sa sortie au casino. Elle n'avait donc pas pensé à retirer ses chaussures ; il ne fallait pas demander dans quel état elle était. Plafond ne ressemblant en rien à celui qu'elle connaissait, la jeune femme fronça les sourcils avant de se redresser, surprise de se retrouver au beau milieu du salon d'un inconnu. Parce qu'il n'y avait rien de familier dans la décoration autour d'elle pourtant, personne ne l'aurait laissé dormir par terre avec pour seul confort, un oreiller sous sa tête, pas vrai ?! Elle était... une femme par-dessus tout ! D'accord ce n'était pas une raison suffisante pour la moitié de l'univers - des malotrus sans aucun doute - mais s'en était une pour elle dont l'attitude rimait rarement avec discrétion. « what the f- » Le juron resta coincé dans sa gorge telle une vieille habitude dont elle n'avait pas le souvenir et finalement, la brunette se releva en prenant soin d'épousseter sa petite robe noire. Elle ne manqua pas non plus de passer une main dans ses cheveux, cherchant un miroir dans la pièce qu'elle trouva et une fois certaine d'être présentable, Rose se dirigea naturellement vers la porte d'entrée. Tournant la cliche plusieurs fois, maniant la clé à maintes reprises également, elle en conclut rapidement que c'était fermé et soupira, prête à trouver une autre sortie. Seulement un passage par la véranda lui indiqua que cette porte là était aussi verrouillée et elle resta une minute, peut-être deux, pontoise à se demander où elle était - le paysage dehors n'avait rien du Las Vegas où elle vivait. « comment est-ce que je suis arrivée là moi ? » Elle aurait du paniquer, Rose, se poser mille questions à la seconde, supposer l'idée d'un enlèvement - ou pire - mais elle était étrangement calme et elle se demanda même si on ne l'avait pas drogué. « il y a quelqu'un ? » osa t'elle lancer en parcourant le rez-de-chaussée, certaine de ne pas être seule puisque de la musique se faisait entendre à l'étage. Sans trop tarder elle y grimpa par l'escalier principal et retrouva un petit groupe de personne dans un nouveau salon. « ravie de voir que je ne suis pas toute seule ici, ça commençait à être un peu flippant » lança t'elle en fronçant les sourcils lorsque certains visages se retournèrent vers elle. Un jeune homme blond et un autre brun semblaient décider à ouvrir la porte d'où ils pouvaient entendre la musique et elle croisa les bras devant elle, peu encline à y mettre du sien. « vous ne croyez pas qu'il serait plus utile d'essayer d'ouvrir la porte d'entrée ? » Les mots du garçon attirèrent son attention et elle le fixa sans gêne pendant plusieurs secondes, presque incapable de s'en empêcher. Peut-être parce qu'il lui faisait penser à quelqu'un, elle n'en savait rien mais elle secoua la tête, amusée par sa réflexion avant de réaliser qu'il était possible, juste possible qu'il soit sérieux. Un petit frisson la parcourut, subitement beaucoup moins à l'aise. « attendez, vous pensez qu'il y a une bête sauvage là-dedans ? » En train de danser sur le plus grand tube d'Eurythmics, bien sûr Rose, et puis quoi encore ? Et venait-elle d'entendre la blonde à ses côtés évoquer des... « des pouvoirs ? vous avez des pouvoirs ?! » demanda t'elle à sa voisine en écarquillant les yeux, déçue d'avoir raté ça, parce que visiblement la présence d'une bête à poils longs était plus effrayante que des pouvoirs magiques. Quelque chose ne tournait définitivement pas rond chez elle, chez eux tous.

résumé:
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C'est enfoncée dans un tapis de coussins moelleux qu'elle se réveille. Les rayons du soleil caressent son visage à travers les baies vitrées. Ses yeux bleus s'ouvrent et se plissent, Eleanor a l'impression de se réveiller d'un sommeil qui a duré mille ans. Elle n'est même pas sûre d'être réellement réveillée, d'ailleurs, car elle ne reconnait rien ; ni les vitres autour d'elle, ni le chat sur ses genoux. "Qui es-tu, toi ?" - question qu'elle lâche en baillant, tendant une main vers les oreilles du félin. Saisie d'un hoquet au même moment, elle remarque que l'animal semble... Immobilisé. Quelques secondes seulement, puis il retrouva l'usage de ses pattes et décampa aussitôt, non sans cracher en direction d'Eleanor d'un air outré. Voilà une occasion manquée de s'en faire un ami. Et alors qu'elle se levait, regardant ses mains sans comprendre ce qu'il s'était passé, la trentenaire sentit une douleur vriller ses lombaires, en plus d'un sentiment de confusion extrême. Elle se sentait comme coincée, sachant qui elle était, mais ni d'où elle venait, ni où elle allait, amputée d'une partie de son âme. Tournant sa tête vers la seule issue possible, Eleanor prit conscience qu'une musique flottait dans cette direction, et eut juste le temps d'apercevoir un homme un peu plus loin, venant visiblement du même endroit qu'elle. L'avait-il vue ? Elle n'osa pas crier ni le rattraper. Quelques pas lents puis elle observa un miroir a l'air ancien qui était accroché au mur, et sursauta, horrifiée devant son reflet : elle avait l'air d'avoir prit trente ans en pleine figure, racines des cheveux blanchies et ridules au bord de ses yeux. Eleanor se plaqua contre le mur, prise de panique, fermant les paupières en attendant de se réveiller, mais rien ne se passait. Sa main tremblante tâta la poche de son pantalon pour attraper son smartphone, mais bien entendu, il n'y avait rien. Et de toute façon, pour contacter qui ? Elle n'avait pas le souvenir d'avoir une famille ou des amis. Elle rouvrit ses prunelles avant de regarder encore une fois dans le miroir... Et ne vit rien d'anormal, juste son visage normal. Ne sachant même plus quoi penser, elle prit la direction que lui donnait la musique qu'elle avait finalement reconnue, comme une mélopée d'une ancienne vie. Sweet Dreams ? De qui on se moquait, là ? Ses pas se firent un peu plus indécis alors qu'elle avançait et prenait conscience de l'immensité de la maison, ou plutôt du manoir dans lequel elle se trouvait. Eleanor se demandait si elle devait appeler quelqu'un, crier à l'aide, mais opta pour la négative. Puis entre soulagement et crainte, elle entendit des éclats de voix qui venaient de ce qui ressemblait à un salon. Eleanor y pénétra, silencieusement, observant les personnes qui se trouvaient maintenant avec elle. Elle comprit rapidement aux bribes de conversations que tous se trouvaient dans la même situation qu'elle. Comment réagir ? Elle ne connaissait pas ces gens, elle s'en méfiait. Rasant les boiseries en évitant les quelques uns qui tentaient d'ouvrir les fenêtres - elle avait déjà essayé en venant et sans succès - elle opta pour un fauteuil et sursauta lorsqu'elle reconnu l'homme qu'elle avait aperçu dans le couloir. Eleanor l'observa avec attention alors qu'il interagissait avec d'autres, puis se décida finalement à prendre la parole, se forçant à garder un ton neutre et froid - ne pas montrer sa panique. "Hey. Je suis Eleanor. Je me suis réveillée dans la véranda et... Ça va paraître un peu fou comme question mais... Si tu... fuck it - Est-ce que tu as figé quelqu'un toi aussi ? Comme si tu avais... Des pouvoirs ?" Puis elle tourna rapidement la tête alors que des coussins sur un canapé à l'autre bout de la pièce prenaient feu, heureusement rapidement éteint. Les choses ici semblaient de plus en plus étranges, et Eleanor avait soif de réponses.

dans le rp :
Eleanor se réveille et découvre son pouvoir au hasard, ainsi que le malus qui va avec même si elle ne le comprend pas encore vraiment. Elle observe plus que ce qu'elle ne parle, méfiante, puis se décide à questionner @Joshua Tenet qu'elle reconnaît car s'est réveillée au même endroit.
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sweet dreams are made of this ― w/@everyone

Y'a quelque chose de pas clair dans cette histoire, de vraiment mais alors là vraiment pas clair, quand tu vois que tu connais ni le lieu ni les gens. Et qu'en prime, eux non plus n'ont pas l'air de te connaître. Ce serait moins inquiétant pour toi si tu te rappelais au moins d'être sorti hier faire la fête pour oublier ton triste sire - sort - mais c'est pas le cas. T'as pas la gueule de bois, t'as pas l'air d'avoir fait grand chose de ta soirée si ce n'est visiblement, te retrouver absolument pas chez toi. Et bien sûr y'a personne qui a l'air d'en savoir plus sur la situation et si t'aimerais bien prendre ça à la légère, c'est pas le cas, t'es même plutôt foutrement inquiet. C'est qui ? C'est quoi ? C'est où ? Pourquoi ? Comment ? Y'a milles questions qui te passent par la tête mais celle qui te préoccupe sans doute plus que les autres c'est la dernière. Comment t'es passé de ton appart à cet endroit ? Kidnappé ? Enlevé par des extra-terrestres ? T'as pas l'air blessé, pas physiquement du moins - t'as bien compris que ta mémoire elle s'était barrée avec le reste de ta vie, mais y'a pas l'air d'avoir beaucoup d'indices. Et surtout, comment cette personne (ou ces ?) a pu réunir autant de gens en un seul endroit sans que personne se connaisse ? C'est quoi ce complot à grande échelle ? Qui sait, et ment aux autres ? Qui a le pouvoir de faire ce genre de trucs ? Y'a trop de choses négatives qui te passent par la tête alors que c'est peut-être juste une super blague très organisée que tes potes ont mis en scène pour te changer les idées ? Mais si c'est ça, ils ont plutôt intérêt à se montrer et rapido. Un énième regard à la pièce inconnue, un soupir de plus - qui sera suivi de beaucoup d'autres - et tu suis le mouvement alors que les autres sortent peu à peu de la pièce pour rejoindre au son de la musique, le petit salon. La mise en scène est réellement fabuleuse, et tu commences à comprendre qu'il n'y a aucune chance pour que tes amis aient pu organiser ça, et t'essayes juste de pas péter une case. Des dizaines d'autres personnes qui s'entassent dans la pièce et pas une ne te semble familière, pas une seule. Tu fermes les yeux, essayes de garder un œil sur les ouvertures - qu'il n'y a pas - et tentes de ne pas te mêler des conversations des autres, t'es plutôt à la recherche d'un visage connu, n'importe qui, ou d'un visage qui te semble amical histoire de t'y accrocher et c'est là que t'entends les gens autour de toi parler de pouvoirs - tu crois qu'ils hallucinent, et t'as pas vu le coussin prendre feu - et de porte fermée. Un coup d’œil dans la direction de ladite porte, et déjà un mouvement se créée entre ceux qui veulent ouvrir, et ceux qui sont inquiets de ce qu'ils peuvent y trouver. Tu t'éclaircis la voix, l'impression d'avoir un chat dans la gorge même, avant de la refermer, sans trop savoir quoi dire. Deuxième tentative. « Y'a quelqu'un qui sait ce qu'il se passe ici ? » Tu tentes, sans conviction, et t'as l'impression d'être en décalage avec le reste du monde. « Pourquoi on pourrait pas ouvrir cette porte ? » Tu lâches encore tout en t'en approchant, donnant du poids à la voix des pour.


en résumé
alpha se réveille comme tous les autres, en se demandant surtout pourquoi personne lui semble à minima familier. il s'demande ce qu'il se passe, et pour lui c'est soit un complot soit, mais il croit pas trop, ses amis qui lui font une méga blague pas drôle. il suit le mouvement et descend jusqu'au salon, où il perçoit les discussions inquiètes des gens et la fameuse porte fermée. sa tendance à prendre des décisions pour l'équipe (et à la place de) ressort, et il se pose dans le camps des « ouvrons la porte »
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découverte d'une pièce secrète


Le vote semble pratiquement unanime et il a été décidé d'ouvrir cette fichue porte. Il faudra alors trois d'entre vous aux corpulences robustes pour enfin la faire céder au bout de quelques minutes. Dès lors que son battant s'ouvre, des lumières fluorescentes dues aux néons parant les murs et le plafond du petit couloir dévoilé juste derrière illumine les premiers visages qui s'y penchent avec curiosité.


C'est en traversant le couloir que petit à petit et pour ne pas changer, on peut entendre l'écho d'une playlist des années 80, Billie Jean et son rythme invitant à quelques pas de danse. Un écriteau "Just for fun" les accueille tout au bout dans une pièce à la décoration totalement hors du temps, de façon à ce qu'on ne s'imagine même plus vraiment au manoir. Néons, boules à facettes, étoiles fluorescentes, poufs de différentes couleurs et petit bar à cocktails se présentent devant tous les regards étonnés.


Hormis la petite piste de danse et le coin pour se poser sur les poufs, les nouveaux habitants peuvent aisément deviner ce à quoi sert cette pièce en la présence de différents jeux d'arcade tout autour d'eux. Space invaders, Pac-Man, Mario Bros, flippers à différents thèmes, jeux à joystick, blasters ou pinces à attraper, en chevauchant motos ou conduisant des voitures. Tables soufflantes à palets, billards, machines à danser et de tir au panier, c'est une véritable et complète salle de jeu qui les attendait sous les spots de lumières colorées et dansantes, la musique entrainante et les couleurs éclatantes tout autour d'eux.



(toutes les images sont cliquables)
@membres

Joshua Tenet
Joshua Tenet
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Points : 111
pronoms irl : elle/she
feat & crédit : dacre montgomery (prettygirl)
― sweet dreams are made of this 170ac8b06fb1c0ed84334d77dfba5f3ed386c282
tu dors où ? : chambre 9, troisième étage
ton super pouvoir : capacité à attirer les objets à lui.
incapacité à contrôler la vitesse d'attraction.

ton inventaire : pistolet à eau
souvenirs : souvenir de deux avions fonçant dans les tours jumelles

   
sweet dreams ― w/everyone

Les gens s'amoncelaient maintenant, et il n'aurait su dire combien ils étaient dans ce fichu manoir, entre ceux déjà présents, et ceux qu'ils entendaient se déplacer dans les étages. Une vingtaine? Peut-être plus ? Les regards étaient inquiets, d'autres plus détendus ou plutôt, résignés. Quelqu'un lui répondit mais il était déjà parti explorer le reste de la pièce. Il y avait tant de choses à voir, tant d'incompréhensions et de questions et, alors que les esprits s'échauffaient un peu autour d'eux, il s'éloigna vers les canapés. Il n'avait pas temps pour s'agacer de la situation, il devait déjà tenter de la comprendre. Tout sourire, il se tourna vers la jeune femme - incroyablement belle - qui venait de l'apostropher et lui sourit. « J'avais même pas vu qu'il y avait quelqu'un d'autre dans la véranda, pour ne rien te cacher. Moi c'est Joshua. » Le feu détourna rapidement l'attention des deux mais quelqu'un s'en occupa, alors qu'il s'apprêtait à sauter dessus; même dans une situation édifiante, on ne perd pas ses vieux réflexes. Puis il revint à elle. « Non, mais moi, j'peux faire ça !» Il se tourna vers la chaise présente à côté d'eux et, au souvenir du vase dans la véranda, préféra plutôt tenter d'attirer à lui l'un des coussins du canapé. Sans aucun contrôle sur son pouvoir, le coussin se souleva avec brutalité et parcourut à une vitesse étonnante la distance les séparant. Il parvint à se protéger avec ses bras avant que le coussin le percute mais il fit tout de même un pas en arrière sous la violence de l'impact; il fallait vraiment qu'il se montre prudent avec ça.. Des voix s'élevèrent autour d'eux pour tenter d'ouvrir la porte et il les rejoignit. Appuyant de tout son poids avec l'aide d'autres résidents du manoir, il sentit le chambranle céder, autant que la porte et elle s'ouvrit sans bruit sur ce qui semblait être une salle d'arcade. Il s'en revint vers Eleanor et lui demanda dans un sourire « On va voir ça ensemble ?»

dans le rp
il discute avec  @Eleanor Capet  et il aide à ouvrir la porte
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Il était plus que temps d'ouvrir cette fichue porte. Il y avait peut-être des indices à l'intérieur ! Ca ne pouvait pas être une si grande pièce, n'est-ce pas ? Statistiquement... Qu'est-ce que j'en savais des statistiques ?! Et puis, qu'est-ce que je connaissais du Manoir ? Rien. Je venais de me réveiller, je n'en connaissais pas la grandeur.

Non, je ne savais rien de cet endroit, mais cette porte me semblait être un bon endroit pour commencer à chercher. Il fallait pourtant attendre que la majorité prenne position pour ouvrir cette porte. Dommage, je l'aurais fait moi-même si je le pouvais. J'étais tellement désespérée de trouver des réponses que je me la jouais un peu solitaire. Je sais que ce n'est pas l'idéal, mais c'est tout ce que je pouvais apporter pour le moment. Cet endroit me stressait, je ne connaissais personne et je ne savais pas pourquoi je me retrouvais là.

Finalement, la majorité décide d'ouvrir la porte et je soupire de contentement. Enfin ! J'actionne la poignée mais ça ne donne rien et c'est en levant les yeux au ciel que je laisse d'autres ouvrir cette porte. Il a fallu plusieurs essais et quelques jurons mais ils y sont parvenus.

Et ce n'est définitivement pas ce à quoi je m'attendais. L'espoir retombe et j'entre à pas de loup dans ce nouvel endroit. Trop de lumière, de rose, de flash et une chanson des années 80. Encore. Je fredonne du Billie Jean en avançant dans cet endroit. Des jeux. Des arcades. Mais pas d'indice. J'avise des poufs dans un coin et me laisse tomber dedans.

- C'est une blague... une vaste blague.

Je secoue la tête en observant les résidents de ce manoir prendre possession des lieux. Certains semblent ravis, beaucoup même. Mais moi, et bien que cela me fasse sourire intérieurement, cela m'éloigne de la sortie de cette drôle de maison.

dans le rp
Astrid était pour ouvrir la porte mais elle n'a pas réussi et en a laissé d'autres l'ouvrir. Elle croyait trouver quelque chose d'intéressant pour découvrir où elle était mais non. Elle est triste et sans espoir et s'assoit sur un pouf sans vraiment savoir pourquoi.
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Après une journée de boulot, il a le corps douloureux, les doigts surtout mais aussi les bras. Cela faisait quelques années qu'il faisait la même chose tous les jours, son corps avait toujours du mal à s'habituer à l'effort. Alors, à peine rentré chez lui, il s'était couché sur son lit, fatigué, en se disant qu'une petite sieste lui était toujours bénéfique.

La bouche pâteuse, il revient doucement à lui et fronce les sourcils. Sa nuque le tire, il pose sa tête autrement. Et soudain, un ronflement le fait sortir de son sommeil. Il sursaute violemment, ses doigts s'agitant droit devant lui et... une lampe éclate en morceau. Il reste là, éberlué en regardant ses doigts puis la lampe avant de se fendre d'un énorme sourire.

- Trop bien !

Il aimerait bien recommencer, Matt, mais c'était sans compter des acouphènes terrible qu'il n'a jamais expérimenté. Se bouchant les oreilles en fermant les yeux, il s'allonge et ce bruit horrible finit par se calmer. C'était sans compter la migraine. Jurant un coup, il se redresse pourtant et ouvre précautionneusement les yeux. La lumière lui brule les rétines mais il se force à ouvrir les yeux. Il est où là ? Pas chez lui, c'est certain. Beaucoup trop classe pour que ce soit chez lui. Alors, il est où ?

Il entend alors une musique qu'il connait vaguement mais qui le force à se bouger. Il suit la musique, les bruits et... des gens. Il y a d'autres personnes. Il ouvre des yeux ronds et se dirige vers lui cuisine. Il y a moins de monde, il préfère. Il a pas l'habitude, il n'y a que lui dans son petit appartement. Matt tombe sur un paquet de chips qu'il ouvre sans se demander si c'était à quelqu'un et l'entame rapidement. Il vraiment faim. Le blond n'a rien mangé depuis... une éternité.

Il arrive au moment où d'autres personnes sont entrain de décider s'il faut ouvrir une porte. Qui fait un bruit étrange. Matt, il est pas plus sûr que ça.

- Si ça fait un bruit comme ça, ça me paraît dangereux.

Dit-il plus pour lui que pour les autres. Il veut pas trop prendre de décision alors il regarde en mangeant les chips. Il finit le paquet et se lèche les doigts au moment où d'autres finissent par ouvrir la porte. Et si pendant un instant il a peur de voir surgir un monstre, son sourire monte rapidement jusqu'aux oreilles.

- Trop bien !

C'est la deuxième fois de la journée qu'il dit ça mais il le pense vraiment. Une salle d'arcade ! Des jeux ! Il n'a jamais pu aller dans ce genre d'endroit. Matt n'allait certainement pas rater cette opportunité. Il se précipite à l'intérieur, derrière d'autres personnes inconnues au bataillon. Aucun prudence, juste des étoiles pleins les yeux. Il a envie de tout faire et ne sait pas par quoi commencer.

dans le rp
Matt se réveille en ronflant, fait exploser une lampe et finit par aller retrouver tout le monde. Il ne prend aucune décision pour la porte, dont les bruits ne lui semblent pas rassurant, et mange un paquet de chips trouvé dans la cuisine. Il adore la salle d'arcade et voudrait toucher à tout mais ne sait pas par quoi commencer.
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Depuis son réveil, Kaia butine, Kaia mutine, Kaia erre entre les formes humanoïdes qu'elle soupçonne fortement d'être une de leurs créations, une énième façon de la torturer, de semer le doute dans le petit crâne qui n'est plus le sien depuis bon moment déjà. Ils ont tous un visage drôlement apaisé au vu de la situation et des yeux qui semblent cracher la vérité; mais Kaia connaît la vérité, la vraie, celle que l'on espère trouver sur des forums peuplés de détraqués mais que l'on ne découvrira, en réalité, qu'en voyageant entre les astres et les planètes mortes. Le doute flambe comme un chiffon imbibé d'essence entre ses viscères et menace d'embraser toute sa carcasse : alors que son système nerveux feule "FUIS", ses jambes la portent vers la pièce bariolée qui vient tout juste de se dévoiler à eux.

De tous les vaisseaux que Kaia Bailey avait visités, celui-ci possédait de loin la décoration la plus originale. Il lui suffisait alors de fermer les yeux pour se remémorer des souvenirs d'enfance qu'elle n'avait jamais vécus : l'odeur caoutchouteuse de la sueur de dizaines d'adolescents qui n'avaient pas vu la lumière des dieux depuis le petit déjeuner et celle, sirupeuse, des bonbons et de la barbe à papa que sa mère refusait probablement d'acheter.

Sous les néons, sa peau tourne au bleu nuit, puis au rose extase et l'espace d'un instant, Kaia Bailey se fait caméléon, tourne sur elle même et observe la boule à facettes qui les surplombe et qui reflète des centaines de prunelles mortes dont le brillant engendrait un jeu de lumière sans pitié qui dévoilait de temps à autres quelques défauts sur le faciès de ses compagnons d'infortune.

Combien d'âmes prisonnières au cœur de la fête ?

Et surtout, quand allaient-ils les rejoindre ?

HRP
Spoiler:
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